Bienvenue à tous

Le SDTB est une pathologie rare, invalidante et douloureuse, peu connue qui laisse les patients bien démunis car les médecins ne la connaissent pas ou ne veulent pas la reconnaitre comme une pathologie ou syndrome à part entière.

Atteinte de ce handicap congénital et bilatéral , opérée et réopérée , je vais sur ce blog essayer de faire le point sur le SDTB et de regrouper les informations qui concerne ce handicap.



Ils ont "Un grand savoir sur le corps…Un piètre savoir sur l’Homme souffrant"



AVERTISSEMENT : Les renseignements fournis par ce forum ne sont qu'informatifs et ne peuvent en aucun cas remplacer le diagnostic fait par un médecin qui lui seul est en mesure d'évaluer votre état de santé adéquatement.

samedi 23 juin 2012

HANDICAP INVISIBLE MAIS INVALIDANT LE SDTB

Voila comment expliquer clairement ce qu'on ressent avec le syndrome du défilé thoraco brachial, L'opération soulage, mais quelques fois l'épée revient... Et les névralgies... c'est un peu comme quand vous avez mal aux dents mais dans tout le bras....

Voilà mon handicap. invisible mais transperçant, invalidant...

samedi 19 mai 2012

mercredi 22 février 2012

L'Institut du Cerveau et de la Moelle Epiniere


L’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière (ICM) est un centre de recherche de dimension internationale, sans équivalent dans le monde, innovant dans sa conception comme dans son organisation. En réunissant en un même lieu malades, médecins et chercheurs, l’objectif est de permettre la mise au point rapide de traitements pour les lésions du système nerveux afin de les appliquer aux patients dans les meilleurs délais. Venus de tous les horizons et de tous les pays, les meilleurs scientifiques vont y développer les recherches les plus en pointe dans ce domaine.
Pour permettre aux chercheurs d’avancer dans leurs travaux et donner un réel espoir aux patients, il faut que nous nous impliquions tous : pouvoirs publics, entreprises privées, particuliers. Tous, sans exception, parce que ce combat concerne chacun de nous. 

ICM
Hôpital Pitié Salpêtrière
47, bd de l'hôpital
75013 PARIS
France
Tel : +33 (0)1 57 27 40 00
Fax : +33 (0)1 57 27 40 27 

vendredi 17 février 2012

SDTBFRANCOPHONE@AOL.FR

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SDTBFRANCOPHONE@AOL.FR

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samedi 30 juillet 2011

Accident Vasculaire Cérébral (AVC)

Accident Vasculaire Cérébral (AVC)
Cela peut servir !

Prenez quelques minutes pour lire ceci et peut-être sauver une vie et contribuer à faire connaître le danger que représente l'Accident Vasculaire Cérébral.
Lors d'un barbecue, Julie trébuche et fait une chute.Elle affirme aux autres invités qu'elle va bien et
qu'elle s'est accroché les pieds à cause de ses nouveaux souliers.Les amis l'aident à s'asseoir et lui apportent une nouvelle assiette.Même si elle a l'air un peu secouée, Julie profite joyeusement du reste de l'après-midi...
Plus tard le mari de Julie téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a été transportée à l'hôpital.....Julie meurt à 18h. Elle avait eu un Accident Vasculaire Cérébral lors du barbecue. Si les personnes présentes avaient été en mesure d'identifier les signes d'un tel accident, Julie aurait pu être sauvée.

Un neurologue dit que s'il peut atteindre une victime d'AVC dans les trois heures, il peut renverser entièrement les effets de la crise. Il affirme que le plus difficile est que l'AVC soit identifié, diagnostiqué et que le patient soit vu en moins de trois heures par un médecin.
Reconnaître les symptômes d'un AVC : Poser trois questions très simples à la personne en crise :

1. * Lui demander de SOURIRE.

2. * Lui demander de lever LES DEUX BRAS.

3. * Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRES SIMPLE (ex.. Le soleil est magnifique aujourd'hui).

Si elle a de la difficulté à exécuter l'une de ces tâches, appelez le 112

et décrivez les symptômes au répartiteur.

Selon un cardiologue, si tous ceux qui reçoivent cet e-mail l'envoient à leur tour à 10 personnes, une vie au moins pourrait être sauvée par jour.

dimanche 12 juin 2011

Fourmillements dans les mains ?

Avez-vous la sensation de picotements, de fourmillements ou d'engourdissements dans la main ? Vous sentez comme une mini décharge électrique dans l'annulaire et l'auriculaire? Cela ressemble étrangement aux symptômes du canal carpien n'est-ce pas ?

 
C'est une erreur d'assumer que le problème est à l'endroit où ça fait mal ! Vous pourriez être surpris de savoir que des muscles situés dans votre cou pourraient bien être les responsables de ces fourmillements. Les scalènes attachent les vertèbres du cou à la 1re et 2e côte et sont situés de chaque côté à la partie antérieure du cou.

 
Ils aident à la stabilisation et la flexion du cou, mais leurs rôles principaux sont de soulever les deux premières côtes, et ce, de chaque côté lorsque vous inspirez. Ils sont actifs à chaque inspiration. Ces muscles sont surmenés chez les personnes qui respirent par la poitrine. Un bon exemple est celui d'un fumeur. Des points trigger dans les scalènes les feront raccourcir et ceux-ci tireront la première côte contre la clavicule ce qui provoquera une compression des nerfs et/ou de vaisseaux sanguins qui passent par le défilé thoraco brachial. C'est souvent un groupe de tissus nerveux appelé plexus brachial inférieur qui est compressé. Plusieurs nerfs du plexus brachial se forment en branches et descendent le long du bras et de la main. Les nerfs les plus couramment affectés par le Syndrome du défilé thoracobrachial :



• Le nerf ulnaire (nerf cubital)

• Le nerf médian



Le nerf ulnaire innerve l'avant-bras, la paume de la main, le petit doigt et l'annulaire. Le nerf médian lui, innerve l'avant-bras, la paume de la main, le pouce, l'index et le majeur. Une compression du plexus brachial aura souvent comme symptômes de causer :



• Douleur au bras et/ou à la main.

• Engourdissements ou fourmillements au bras et/ou à la main et aussi au quatrième et cinquième doigt.



Cette douleur ou malaise s'intensifie lorsque vous levez le bras au dessus de la tête pour une période prolongée. Ces symptômes sont souvent associés au syndrome du canal carpien dont les symptômes sont identiques. Alors avant de conclure qu'il s'agit du syndrome du canal carpien vérifiez vous muscles du cou.








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Le petit pectoral, un muscle à ne pas oublier dans les douleurs à l’épaule ...


Petit pectoral : Petit muscle qui est couvert par le grand pectoral. Il joue avec le trapèze un rôle stabilisateur de l’articulation de l’épaule en l’empêchant de s’écarter vers le haut. Il est actif dans la respiration profonde et forcée.



Les problèmes d’épaules sont multiples : tendinite, bursite, calcification, capsulite,SDTB … Malgré la diversité de diagnostics posés pour des douleurs à l’épaule, une des causes les plus fréquentes est une tension excessive du muscle petit pectoral.



Le muscle petit pectoral est un muscle qui origine de la troisième, quatrième et cinquième côte et s’attache dans l’épaule, plus précisément sur l’apophyse coracoïde de l’omoplate.
Ce muscle est souvent tendu car il réagit beaucoup au stress émotionnel, étant donné ses attaches sur le thorax.
Les mauvaises postures avec les épaules enroulées contribuent à accentuer ces tensions.
Les femmes sont prédisposées par ce genre de problème étant donné la présence des seins qui favorisent l’enroulement des épaules. Les femmes sont également plus sujettes aux divers stress émotionnels. Les femmes qui allaitent ont souvent la mauvaise habitude de tenir leur bébé toujours du même côté, favorisant ainsi une accumulation de tension dans le muscle petit pectoral.



Lorsque le petit pectoral est tendu, il engendre l’enroulement des épaules. Ce faisant, il crée une élongation des muscles derrière l’omoplate d’où les nombreux motifs de consultation pour des douleurs dorsales ou à l’omoplate. De plus, l’enroulement des épaules engendrent une diminution de l’espace entre la tête humérale (tête de l’épaule) et la clavicule (acromion). C’est dans cette espace que passent la majorité des tendons principaux qui s’attachent sur l’épaule. Les tendons sont le prolongement du muscle au niveau de l’attache osseuse.



Donc, étant donné l’espace réduit, les phénomènes d’accrochage sont beaucoup plus nombreux favorisant ainsi les tendinites à répétition, les bursites, etc. Si les syndromes d’accrochage se perpétuent dans le temps, le corps formera de l’os pour solidifier le tendon, d’où l’apparition de calcification. Finalement, les nerfs qui descendent dans le bras (plexus brachial) passent juste en dessous du muscle petit pectoral. Donc, lorsque ce dernier est trop tendu, il engendre une irritation de ces nerfs avec apparition de douleurs et/ou d’engourdissements dans tout le bras. Plusieurs diagnostics de tunnel carpien ne sont que le reflet d’une tension trop importante dans le muscle petit pectoral et expliquent les insuccès des thérapies qui ne traitent que les poignets.



Tous ces malaises peuvent souvent être évités simplement par l’application d’exercices d’étirement du muscle petit pectoral sur une base régulière.  

Une façon très simple d’étirer le muscle petit pectoral est la suivante : croisez les doigts ensemble, les mains derrière votre dos, et amenez vos épaules le plus loin possible vers l’arrière en gardant la tête droite et le menton rentré.
Tenez la position trente secondes et répétez cinq fois. Répétez cet exercice à tous les jours tout en adoptant de bonnes habitudes d’hygiène de vie et de posture.



jeudi 10 mars 2011

ELECTROMYOGRAMME c'est quoi?



  • L’électromyographie : de quoi s’agit-il ?
  • Quelle est l’utilité de l’électromyographie en médecine ?
  • Comment se déroule l’examen pour le patient ?
  • Quels sont les risques et les inconvénients de l’électromyographie ?
  • Qui prescrit l’examen  ?  combien ça coûte, comment est-on remboursé ?
  • Où se pratique l'examen et par qui?


L’électromyographie : de quoi s’agit-il ?

L’électromyographie (EMG) explore le système nerveux périphérique, qui comprend la moelle épinière, les nerfs périphériques et les muscles. L’EMG permet d’étudier la qualité de la contraction musculaire. Pour comprendre le principe de cet examen, il faut savoir qu’un muscle est commandé par un nerf périphérique qui va assurer la propagation de l’influx nerveux. Une des caractéristiques des fibres nerveuses est l’excitabilité ; en réponse à un courant électrique, elles réagissent en propageant l’influx nerveux jusqu’au muscle correspondant.

Il existe deux techniques complémentaires :

– l’EMG de détection, qui consiste à mesurer l’activité électrique d’un muscle au repos et à la contraction volontaire ;

– l’EMG de stimulation, qui permet de mesurer la vitesse de conduction nerveuse après stimulation d’un nerf par un bref courant électrique.

Quelle est l’utilité de l’électromyographie en médecine ?

L’électromyographie contribue à différencier une maladie organique d’un trouble psychologique.

Elle permet :

– de différencier une souffrance d’un nerf périphérique d’une souffrance musculaire ;

– de topographier la lésion : nerf périphérique, plexus, racine cervicale et lombaire, moelle épinière, trouble de la conduction neuromusculaire, c’est-à-dire mauvaise transmission de l’influx nerveux au sein du muscle ;

– d’apprécier le degré de la lésion.

Par exemple, lors de syndrome neurogène périphérique (atteinte des nerfs), l’examen permet de localiser le ou les nerfs atteints au cours d’un traumatisme et d’une inflammation (polynévrite, polyradiculonévrite…), d’en préciser le mécanisme (atteinte de la cellule nerveuse, de la fibre nerveuse et/ou de la gaine de myéline) et d’orienter la recherche de la cause.

Lors d’atteinte musculaire (myopathie ou atteinte de la conduction neuromusculaire…), l’électromyographie confirme le diagnostic, mais n’indique pas la cause.

Comment se déroule l’examen pour le patient ?

Aucune préparation n’est nécessaire. Il faut éviter tout étalement de lait ou crème sur le corps le matin.

Le patient est généralement allongé sur la table d’examen, ou éventuellement assis lors de l’exploration des membres supérieurs.

L’électromyographie se pratique en deux étapes, l’examen de stimulation, puis l’examen de détection :

– pour l’EMG de stimulation, est utilisé un stimulateur électrique placé sur le trajet du nerf. Des électrodes cutanées de détection sont fixées par des adhésifs au niveau des muscles commandés par les nerfs stimulés. Différents nerfs peuvent être stimulés en fonction de la clinique ;

– pour l’EMG de détection, de fines aiguilles jetables à usage unique sont introduites dans les muscles à explorer. Le patient doit contracter les muscles explorés. Cet examen ne peut se faire qu’avec la bonne participation du patient, contrairement à l’EMG de stimulation.

La durée de l’EMG comprenant les deux types d’examen — stimulation et détection — varie selon le nombre de muscles et de nerfs à explorer et selon la clinique. Elle est de 45 minutes en moyenne.

Quels sont les risques et les inconvénients de l’électromyographie ?

L’électromyographie ne comporte aucun risque potentiel. Les petits chocs électriques délivrés lors de l’examen de stimulation sont désagréables mais non douloureux.

L’introduction de l’aiguille lors de l’examen de détection est quasi indolore, mais la mobilisation de l’aiguille lors de la contraction du muscle peut provoquer une certaine gêne.

Qui prescrit l’examen, combien ça coûte, comment est-on remboursé ?

Prescrite par un médecin, l’électromyographie est prise en charge par l’Assurance Maladie à 70 %. Les 30 % restants sont remboursés par la mutuelle ou l’assureur, si toutefois le patient a respecté la filière de soins !

Selon le nombre de nerfs et de muscles explorés, son coût varie de 86 à 130 euros, allant jusqu’à 322 euros pour une électromyographie du périnée.

Où se pratique l’examen et par qui ?

L’électromyographie se déroule dans un cabinet médical ou dans un service spécialisé à l’hôpital de neurophysiologie en consultation neurologie, par un médecin neurologue.

Source/Auteur : Marie Barberry

En collaboration avec le Dr Mary-France Testut

Date : 24/04/2009































  

dimanche 13 février 2011

RISQUES OPERATOIRES

Quels sont les risques d'une intervention sur le SDTB

Les risques génériques sont l'hématome post-opératoire, l'infection post-opératoire, l'algodystrophie, les complications liées à l'anesthésie.

- les risques spécifiques :

Le risque essentiel est lié à la neurolyse du plexus brachial.

Cette dissection est extrèmement minutieuse et nécessite une très bonne connaisssance de l'anatomie régionale. Elle se réalise microchirurgicalement et sous loupes grossissantes.

Le risque vasculaire est aussi particulièrement important lors de la résection de la 1e cote par voie axillaire.

 
Une plaie d'un vaisseau exigera sa réparation.

Une brêche pleurale est en générale sans conséquence.

Le problème le plus grave est la blessure complète ou partielle d'une racine nerveuse qui exigera sa réparation avec une récupération longue.



Patrick Houvet / I.F.C.M